La Commission nationale des droits de l’Homme et des libertés du Cameroun doit amener le gouvernement Camerounais à prendre conscience d’une nécessité de réguler les activités des entreprises et la désignation des représentants du gouvernement pour participer aux négociations lors de la 6e session qui a eu lieu en octobre 2020 sur la base de la nouvelle version.
Le projet s’articule autour de deux activités : l’atelier préparatoire et le plaidoyer proprement dit.
Les objectifs étaient :
- Mobiliser le Cameroun pour qu’il participe et joue un rôle constructif dans les négociations ;
- Relever les faiblesses et les manquements du projet de traité : incohérences, imprécisions, erreurs juridiques, manque d’articulation avec les instruments internationaux et régionaux existants et les articles qui peuvent poser problème au regard de la législation et la réalité Camerounaise ;
- Formuler des recommandations que l’État du Cameroun doit porter à la connaissance de la présidence du groupe de travail intergouvernemental à composition non limitée ;
- Échanger avec l’ensemble des parties prenantes afin d’élaborer la stratégie de plaidoyer ;
- Déterminer les potentiels représentants des institutions qui peuvent porter les amendements, les observations et les recommandations du Cameroun lors de la 6ème session.